Ça fait longtemps que je ne vous ai pas causé ciné. Mon p’tit carnet de notes de ces derniers jours… avec le pourquoi du comment. Évidemment, ce n’est que mon avis et heureusement que l’on ne pense pas tous pareil. Vous avez le droit d’avoir adoré des films que je n’ai pas aimés et inversement.
L’Amour ouf (8/10) – Je me suis laissé emporter par cette histoire. Notamment la première partie avec les deux « héros » jeunes. Étant également très sensible dans un film à la qualité de l’image et des plans, bravo à Gilles Lelouche avec des plans très très soignés et une façon de filmer percutante. Sans oublier la BO.
Aznavour (7/10) – Ok, j’ai vu Aznavour en concert au moins dix fois. Alors entendre ses chansons une fois encore, je partais avec un a priori favorable. Certes, la réalisation est assez basique avec systématiquement un moment de vie qui conduit à une chanson, mais le jeu des acteurs est au top avec mention bien évidemment pour Tahar Rahim. Et quand il y a en plus Marie-Julie Baup dont je suis fan (Edith Piaf dans le film), je ne peux qu’aimer.
Lee Miller (5/10) – Super sujet (une photographe pendant la deuxième guerre mondiale qui va découvrir l’horreur des camps), mais une mise en scène austère et très lente qui donne l’impression que le film est interminable. Heureusement Kate Winslet est là (même si je lui en veux toujours de ne pas avoir embarqué Jack sur la planche de Titanic).
Gladiator II (4/10) – Évidemment, impossible de ne pas comparer avec le premier Gladiator. N’est pas Russel Crowe qui veut. Notre nouveau gladiateur a pour moi un charisme d’huitre avec notamment des discours mobilisateurs très fades (on ne fera jamais aussi bien que William Wallace (alias Mel Gibson) dans Braveheart). Des scènes un peu gore qui sont gratuites… Certes, il y a des belles images, mais ça ne m’a pas suffi.
La Vallée des Fous (4/10) – Etant un joueur de Virtual Regatta, j’en attendais pas mal. Sans doute trop. Grosse déception. Mais que c’est long et lent… Des placements de produits grossiers. Heureusement que Pierre Richard est là…